Faq Home Cinéma
Le choix d'un caisson de grave
Le caisson de grave est
devenu en effet un des éléments d’un système Home Cinéma, mais aussi peut être
un des plus difficiles à choisir. Voici quelques conseils qui devraient vous
aider. En effet, qu’est-ce qui ressemble plus à un caisson de grave qu’un
autre caisson de grave ? Qu’est-ce qui justifie des différences de prix,
voire de taille aussi importantes ? A quoi servent les réglages disponibles
sur ce maillon et comment les utiliser au mieux ? Les recommandations qui
suivent tentent d’apporter une réponses claire à ces quatre questions, pour
vous aider à trouver le caisson qui conviendra le mieux à votre espace, à vos
goûts et à votre budget.
Pourquoi un caisson de grave ?
A partir de la culture « Haute Fidélité », on
pourrait se dire que le caisson de grave est un élément acoustique inutile car
les enceintes acoustiques modernes savent parfaitement reproduire correctement les
fréquences graves et ce avec une homogénéité vis à vis du médium et de
l’aigu. Eh bien même en Haute Fidélité c’est une idée fausse, le caisson
apporte une ampleur de l’image sonore stéréo, mais attention par n’importe
quel caisson bien entendu ! ! !
En fait c’est avec l’arrivée des systèmes sonores numériques
Home Cinéma ( Dolby Digital, DTS) où il existe un canal de grave spécifique,
indépendant des autres canaux, capables sur certains films d’un énergie
particulièrement redoutable. Dans c es conditions, il faut se rendre à la raison :
le caisson de grave est désormais indispensable dans toute installation Home Cinéma
digne de ce nom. Lui seul permet de reproduire correctement le niveau d’énergie
dans le grave présentés par les films modernes. La présence d’un caisson de
grave présente un autre avantage que peu de personnes soupçonnent- encore :
puisque le grave est reproduit par un caisson indépendant, on peut soulager les
autres enceintes de la reproduction de ces fréquences. Ainsi elles fonctionnent
beaucoup mieux … du bas médium jusqu’à l’aigu ! Il y a moins de
distorsion, notamment d’intermodulation. Mieux encore, les amplificateurs qui
alimentent les enceintes sont eux aussi soulagés d’autant. Ne l’oubliez
jamais : plus on descend dans le grave, plus on a besoin de développer de
l’énergie, donc de la puissance, donc des watts mais aussi et surtout une
alimentation (transformateur et condensateurs) conséquente …
Les techniques en présence
Le haut-parleur du caisson de grave
Généralement, un seul haut-parleur suffit dans un caisson de
grave. Le plus important, c’est son diamètre : les lois de l’acoustique
sont immuables, et les fréquences devant être reproduites sont basses (moins de
150 Hz), de longueurs d’ondes importants (plusieurs mètres) et nécessitent
donc de brasser beaucoup d’air. Bien qu’il y ait des exceptions dues à la
qualité du haut-parleur lui-même, la règle théorique est simple. Dans un
caisson de grave, plus le haut-parleur est gros, plus on a de chance de le voir
reproduire du « vrai » grave et du « vari » extrême
grave, sans limitation et sans distorsion. Dans
le cas qui nous préoccupe, il ne paraît pas raisonnable de descendre au dessous
de 25 cm de diamètre, sauf conception spéciale (passe bande à un ou plusieurs
haut-parleurs : voir plus loin). L’idéal est un boomer (c’est ainsi que
l’on appelle un haut-parleur de grave. Le terme woofer est aussi employé. Quant
au terme « subwoofer » ou « sub », ils désignent plutôt
le caisson de grave dans son entier). De 30 cm, voire 38 cm cm de diamètre. Mais
évidemment le volume de charge et donc la taille du caisson, croissent en conséquence
…
Dans la pratique, l’emploi d’une membrane en papier n’a
rien de répréhensible. Plus important d’ailleurs est nécessité pour le haut-parleur d’avoir une suspension périphérique
permettant de grands débattements avant/arrière. Dans le grave et l’extrême
grave, la membrane travaille bien plus en piston qu’en vibration intrinsèque de
son matériau.
L’utilisation du haut-parleur
On distingue en acoustique plusieurs manières de charger un
haut-parleur, et ce sont une fois de plus les fréquences les plus graves qui en
sont la cause. Lorsque la membrane bouge d’avant en arrière, elle déplace
l’air devant … et derrière elle. Si on laissait le haut parleur à l’air
libre, ces deux émissions s’annuleraient en grande partie et on perdrait
pratiquement tout le rendement du haut-parleur. D’où la nécessité de rendre
indépendante les émissions avants et arrières. Au début, les haut-parleurs étaient
montés sur de grandes planches qui servaient à isoler les deux émissions. On se
doute que cela n’était pas très pratique. Alors on eut l’idée d’enfermer
l’onde arrière de boomers. Et, cette méthode a encore cours aujourd’hui.
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Le caisson clos
C’est la méthode apparemment la plus radicale et la plus
simple. Elle consiste tout simplement à enfermer l’onde arrière du
haut-parleur dans une boîte complètement étanche. Celle-ci est simplement
garnie en tout ou partie d’un matériau amortissant, destiné à absorber
progressivement (et théoriquement totalement) l’onde arrière en évitant ses
« rebonds » multiples sur la membrane. |
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Bien
conçue, la charge close présente de nombreux avantages : fonctionnement très
régulier du haut-parleur, calcul aisé du volume du caisson, possibilité de
laisser le haut-parleur descendre très bas dans le grave, plutôt naturellement,
et donc sans résonance sensible ou montée de la distorsion. Les inconvénients
existent aussi : le haut-parleur utilisé ne souffre pas la moindre médiocrité ;
un modèle de 30 cm, voire 38 cm s’impose. Et le volume est forcément
important, d’où un caisson encombrant. Enfin, le rendement est généralement
plus faible qu’avec un caisson bass reflex, d’où la nécessité d’un
amplificateur puissant d’excellente qualité. Enfin, la rigidité de la caisse
est ici très importante, car c’est elle qui sera à l’origine des résonance
parasites.
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Le caisson bass reflex
C’est désormais la méthode de charge la plus répandue. Le
principe est assez simple : plutôt que de laisser perdre l’onde arrière
du boomer, on la récupère via un évent et on l’envoie vers l’avant, afin de
renforcer l’émission directe de la membrane. |
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L’évent
est généralement un tube débouchant sur une des faces du caisson, tube dont le
diamètre et la longueur doivent être spécialement calculés pour obtenir des résultats
optimaux. On dit que l’évent est «accordé ». Le but est en effet de récupérer
l’onde arrière de manière à ce qu’elle intervienne aux fréquences inférieures
à la coupure naturelle du haut-parleur, en suivant les fréquences qu’émet
directement sa membrane vers l’avant. Une fréquence de coupure moyenne sera,
pour l’évent entre 60 et 80 Hz, suivant la taille du haut-parleur. Avantages du
bass reflex : la qualité du haut-parleur est relativement moins sensibles
qu’en charge close, et l’on peut aussi utiliser un haut-parleur de diamètre
inférieur (25 au lieu de 30 cm, ou 30 au lieu de 38 cm) pour des résultats théoriquement
identiques. Le volume totale du caisson est inférieure à celui d’une charge
close, toujours pour des résultats équivalents. Avec un grand haut-parleur et un
évent bien calculé, on peut descendre très bas dans l’extrême grave. Enfin
le rendement d’un tel caisson est assez nettement supérieur à celui d’un
caisson clos, d’où une puissance électrique nécessaire inférieure pour une même
pression sonore fournie.
Inconvénients du bass reflex : le principe même de l’évent
induit un phénomène de traînage et des bruits d’écoulement d’air qui ne
sont pas négligeables. Le principe du bass reflex peut entraîner des
talonnements subits (pouvant aller jusqu’à la destruction du haut-parleur) si
on utilise le haut-parleur au-delà des ses capacités en puissance ou si on
envoie des fréquences trop graves (inférieures à la fréquence de résonance de
l’évent). Enfin d’un point de vue commercial, on peut voir des caissons bass
reflex utilisant des haut-parleurs de qualité médiocre … Ils remuent beaucoup
d’air, mais ne reproduisent en fait pas d’infragrave. la caisse est peu
rigide, d’où phénomène permanent de « boum boum » fort désagréable
(surtout en Haute Fidélité).
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Le caisson passe-bande
Ici, le schéma est plus explicite qu’un long discours. Le
haut-parleur se trouve chargé à l’arrière par un caisson clos, mais la face
avant de sa membrane n’est pas chargée par l’air libre ; elle est enfermée
dans un second caisson bass reflex, et le couplage avec l’air de la pièce se
fait par un évent, du même type que ceux utilisés pour récupérer l’onde
arrière du boomer dans un caisson bass reflex. |
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Cette
technique a surtout été développée pour la reproduction du grave dans les
voitures, car elle présente des avantages qui vont bien avec l’exiguïté de
l’habitacle d’une automobile …
Avantage du passe-bande : on peut se contenter d’un
haut-parleur de diamètre relativement réduit (20 cm), avec pourtant une très
bonne réponse jusque dans les fréquences très basses. Les deux caissons avant
et arrière sont d’un volume réduit, et peuvent être plus longs que hauts. Le
rendement est assez élevé, semblable à celui d’un caisson bass reflex. Le
filtrage est presque uniquement acoustique, ce qui simplifie le montage et ne peut
qu’améliorer encore le rendement. Enfin, on peut aussi utiliser deux ou
plusieurs haut-parleurs de faible diamètre (13 cm) en obtenant des résultats
identiques à ceux d’un gris haut-parleur, mais avec une réponse sur les
attaques théoriquement meilleure.
Inconvénients du passe-bande : on trouve dans ce domaine
à peu près tout et n’importe quoi, à commencer
par des caissons en matière plastique qui vibrent plus que le haut-parleur
interne… Mais ne généralisons pas : il existe aussi ds caissons de ce
type remarquablement bien conçu. Le grave «entendu » est émis uniquement
par le ou les évents. Les bruits d’écoulement d’air sont donc très
sensibles. Si l’ensemble charge avant charge arrière est mal calculée, le
caisson n’émet linéairement que sur une bande de fréquences très étroite,
et avec un certain traînage. On le voit, cette technique est très intéressante
d’un point de vue encombrement et esthétique, mais ce n’est sûrement pas la
plus facile à réaliser, et donc la plus économique. Méfiez-vous donc des
caissons passe-bande très peu coûteux…
Les autres techniques
Il existe d’autres techniques plus sophistiquées qui ont u,
ont ou auront à nouveau leut heure de gloire. Citons-en quelques-unes pour
information.
- Le radiateur passif. Il consiste à épauler le haut-parleur
actif par une membrane passive qui ne «remue » que par l’intermédiaire
des mouvements du haut-parleur actif. Le caisson de charge est donc
obligatoirement commun et clos. Parfois le haut-parleur actif est caché à
l’intérieur d’une double cloison, sinon il débouche sur l’extérieur comme
le haut-parleur passif. Cette technique permet de descendre très bas dans le
grave, mais son gros défaut consiste à bien maîtriser les fréquences de résonance
respective des deux membranes, mais aussi et surtout dans le traînage inévitable
apporté par la membrane passive.
- L’asservissement. Le principe est cette fois électronique.
Un capteur placé sur la membrane, ou un mini microphone, analyse les mouvements
de la membrane du boomer ou les fréquences qu’elle reproduit, et les compare en
temps réel au signal effectivement envoyé en entrée. Un circuit électronique
soustrait alors tout ce qui n’est pas conforme au signal originel. Cette
technique idéale sur le papier se heurte à bien des obstacles en pratique :
coût de la réalisation, temps de réponse de la correction, impossibilité de
corriger vraiment les déplacements de la membrane d’un gros haut-parleur, en
temps réel. On la trouve pourtant sur des caissons de grave haut de gamme, avec
un certain succès.
- Double bass reflex, ligne acoustique, pavillon. Ce sont
d’autres principes de charge qui sont aujourd’hui peu employés sur les
caissons de grave du commerce, pour des raisons de complexité, d’encombrement
et/ou de prix de revient. Seuls les amateurs capables de fabriquer eux mêmes leur
caisson de grave s’y intéresseront.
Les éléments constitutifs d’un caisson de grave
Caisson actif ou passif ?
Il y a deux types principaux de caissons : les modèles
passifs, qui ne sont finalement que des enceintes acoustiques traditionnelles spécialisées
dans la reproduction du grave, et les modèles actifs, qui intègrent leur électronique,
c’est à dire le filtre des fréquences et l’amplificateur de puissance. Ces
derniers modèles sont les plus répandus, pour des raisons pratiques : la
majorité des ampli tuners ou amplificateurs audio/vidéo n’embarque que cinq
canaux d’amplification. Celui du grave doit être ajouté et le mieux est encore
de l’intégrer dans le caisson à proprement dit. Cela permet aussi de prévoir
un réglage de volume indépendant, un filtre de sélection de la fréquence de
coupure, un réglage de phase et éventuellement un renvoi vers les enceintes
gauche et droite avant, filtrées au-dessus de la fréquence reproduite par le
caisson. Bien évidemment, cette possibilité a perdu son intérêt avec la récente
apparition des systèmes de paramétrage des enceintes directement intégrés dans
l’amplificateur.
Les réglages d’un caisson actif
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Le réglage de fréquence de coupure |
Puisqu’un caisson de grave ne reproduit que les fréquences
graves , autant doter en entrée d’un circuit électronique qui lui évitera
de reproduire le médium et l’aigu ! Mieux encore, autant pouvoir donner le
choix à l’utilisateur de régler la fréquence haute à partir de laquelle il
interviendra. En pratique, un tel réglage peu aller de 50 Hz à 200 Hz. Quant à
la fréquence basse de coupure, on n’y a pas accès, le caisson s’en occupe
tout seul. Ce système de réglage de fréquence de coupure fait désormais double
emploi avec le « Bass Managment » offert par les amplificateurs
audio/vidéo les plus évolués. En effet, c’est à partir de ceux-ci que l’on
détermine quelle va être la fréquence la plus haute qui sera envoyé au caisson
de grave, et par voie de conséquence, quelle va être la fréquence la plus basse
qui sera envoyée aux autres enceintes déclarées en « Small »
(fonctionnement en bande passante limitée). Evidemment, c’est la même fréquence
dans les deux cas. En réglant
la coupure du caisson sur 60, on s'assure que le passage du caisson vers
les enceintes ne présente pas de trou. Ensuite,
superposer les principales et le caisson créé une petite plage de
recouvrement qui assure une meilleure transition entre les deux.
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Le réglage de niveau |
On peut aussi sur tous les caissons de grave actifs régler le
niveau par rapport aux enceintes. Ici aussi, ce réglage fait double emploi avec
le paramétrage des électroniques Home Cinéma, d’autant que le niveau de grave
peut (et doit) être différent suivant le type de décodage utilisé : Dolby
Pro Logic, Dolby Digital, DTS Cinéma ou DTS music. Mais il est tout de même très
agréable de pouvoir peaufiner, à l’oreille, le niveau sonore moyen délivré
par son caisson de grave, d’autant que ce niveau peu subjectivement varier dans
d’assez grandes proportions suivant l’emplacement du caisson dans la salle
d’écoute, et suivant la nature de l’ameublement. Vous devez le régler en
fonction de votre pièce, du rendement des enceintes, et de votre confort
d'écoute. L'objectif étant d'entende le caisson uniquement lorsqu'il il
y a des explosions et pas tout au long du film. Le plus simple c'est de
positionner le bouton du niveau de coupure à mi course et de jouer sur le
niveau de sortie de l'amplificateur. Cela permet sans toucher au niveau de
coupure du caisson de faire un réglage Home Cinéma différent du
réglage Hifi (en Hifi aussi le caisson est important, il donne plus de
profondeur à l'image sonore, mais son niveau de coupure doit être plus
faible qu'en home Cinéma)
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Le réglage de phase |
Sur les modèles de caissons les plus évolués, on découvre un
interrupteur repéré « Phase », avec deux positions 0 et 180°. Il
faut savoir que dans une installation correctement réglée, avec tous les
haut-parleurs en phase, sur un son donné, leurs membranes doivent toutes se déplacer
dans le même sens : par exemple vers l’avant. A priori, il doit en être
de même pour le caisson de grave. Cependant, les fréquences graves ont ceci de
particulier qu’elles peuvent parfaitement se retrouver « hors phase »
pour des raisons purement acoustiques, autrement dit en fonction de la position du
caisson par rapport aux autres enceintes (principalement les deux enceintes latérales
avant), mais également des résonance de la pièce d’écoute. Ce réglage de
phase permet purement et simplement d’inverser le sens de déplacement du
boomer, sur un son donné. Le réglage se fait uniquement à l’oreille, et
toutes les notices diront que vous devez choisir la position à ou 180° donnant
le plus de grave. Il vaut mieux conseiller de choisir la position où le grave
vous paraît le plus naturel, car dans ce domaine plsu que dans tout autre,
quantité n’est pas forcément synonyme de qualité…
Déclenchement automatique
Certains caissons de grave détectent automatiquement la présence
d’un signal à l’entrée. Cela signifie que si, pendant un certains laps de
temps, ils ne sont pas alimentés par un signal audio, ils se mettent en veille
pour éviter de consommer trop de courant et de chauffer inutilement. Cette
possibilité est parois agaçante : le caisson ne se déclenche pas avec un
niveau trop faible, ce qui occasionne un fonctionnement heurté. L’idéal serait
de pouvoir choisir le seuil de déclenchement.
Un ou deux caissons ?
On ne se pose plus vraiment la question aujourd’hui, mais
pourtant elle est plus que jamais d’actualité. Un seul caisson semble plus
logique puisque les fréquences graves ne sont pas théoriquement directionnelle
donc pas d’effet de spacialisation, ne serait ce qu’en stéréophonique. Il
n’y a qu’une seule sortie LFE, et puis un seul caisson c’est tellement plus
pratique…
Pourtant, dans bien des cas, l’utilisation de deux caissons,
positionnés chacun près d’une enceinte latérale avant, voire dessous, résout
beaucoup de problèmes. On évite ainsi la localisation du grave (qui, quoiqu’on
en dise existe bel et bien en pratique). De plus, la présence de deux sources
d’émission du grave indépendante réduit le risque de résonances ponctuelles
dans la pièce, les deux caissons sont moins sollicités qu’un seul pour un
niveau de grave équivalent.
Alors, dans certains cas on peut se poser la question et choisir
deux caissons de très bonnes qualité, mais moins encombrants et moins coûteux
qu’un seul. C’est une solution qui devrait être adoptée pour ceux qui ont la
chance d’avoir une salle Home Cinéma dédiée.
Quelques conseils
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Évitez
les caissons en « plastique ». Le bois (panneaux de particules ou médite)
présente toujours le meilleur rapport densité/masse |
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La
position du caisson dans une pièce est très importante. Essayez de placer le
caisson le plus près possible de la zone d’écoute, devant soi. |
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Évitez
de placer le caisson dans un angle. S’il est placé le long d’un mur laissez
dix cm entre le mur et le caisson. |
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Découplez
votre caisson en lui mettant des pointes, les résultats en terme de netteté et
de propreté du grave sont très étonnants. |
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Ne
négligez pas la qualité du câble de modulation qui alimente le caisson.
Comptez 2à à 50 francs le mètre chez des commerçants spécialisés. |
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